Date : 02/12/2014 Intervenant : Didier Leroux
Guy Loterre en introduction à la soirée :
"un Noël avant l'heure pour cette soirée d'Ovni Paris du mardi 2 décembre 2014"
Oui un Noël avant l'heure avec 61 personnes présentes pour fêter nos 10 ans de présence au comptoir Casino, avec en cadeau des T-shirts alien, et des petits porte-clés représentant des soucoupes volantes, ainsi que trois gros gâteaux avec des bougies que nous nous partagerons en fin de soirée.
Présents ce soir-là pour écouter Didier Leroux assisté de Jean-Luc Rivera, Thierry rocher, Gildas Bourdais, Frédéric Seine, Gérard Deforge, Yvon Cayrel et son amie, Didier Boulanger représentant les repas ufologiques.
Didier Leroux commence donc son intervention par un hommage à son ami Jean Goupil qui a eu la très mauvaise idée de nous quitter le 18 juillet 2014 à la suite d'une longue maladie, sur la photo de Didier et de moi où nous présentons leur 1er livre la photo laisse apparaître des des traces circulaires pales généralement de tailles diverses ce qui n'est pas le cas sur la photo, et le plus souvent ces traces apparaissent souvent sur des photos prises au flash ce qui n'est pas non plus le cas. Pour ceux qui sont sensibilisés aux phénomènes paranormaux on donne le nom d'ORBE à ces traces qui est selon l'hypothèse surnaturelle la plus répandue à leur sujet.
Les orbes seraient des sortes de fantômes, voire d'esprit, ou encore d'anges.
Toujours est-il que la coïncidence dans le cas présent et très étonnante , regardez bien entre Didier Leroux et moi un cercle très pale est présent et pourrait être interprété comme étant l'esprit de Jean goupil.
Jean était venu avec Didier le 1er février 2011 pour la parution de leur premier livre " les ovnis une intelligence artificielles " une très sympathique soirée à Ovni Paris qui à l'époque s'appelait encore les Repas Ufologiques.
l'exposé : Didier Leroux et Jean Luc Rivera présentent le dernier ouvrage de Didier Leroux et de Jean Goupil
"OVNI et intelligence extraterrestre LA REVELATION" éditions le Temps Présent
Didier LEROUX est un érudit intéressé par les sciences exactes, mais également par l’ésotérisme et le folklore. Il participe à diverses recherches aussi bien en ufologie qu’en parapsychologie et dispose d’une documentation très vaste sur ces sujets. Il a écrit des articles dans la revue Lumières dans la Nuit et dans la Gazette Fortéenne.
Jean GOUPIL est ingénieur électronicien.
En 1960 il s’intéresse à l’ufologie et rencontre Aimé Michel et René Hardy. En 1964 il fait partie du GEPA et y rencontre Didier LEROUX. En 1975 il écrit un chapitre du livre de Jean-Claude Bourret, La Nouvelle Vague des Soucoupes Volantes, texte qui est repris dans OVNIS, 1999 le Contact ?. Il a également écrit plusieurs articles dans la revue Phénomènes Spatiaux et dans Lumières dans la Nuit.
Ce livre commence par exposer en quoi consisterait un voyage interstellaire, c’est-à-dire d’une étoile à une autre ; voyage autrement difficile qu’une expédition terre-lune avec laquelle le grand public est familiarisé aujourd’hui.
Là où ce nouveau livre se démarque du premier, c’est qu’il va beaucoup plus loin en exposant tout ce qu’une civilisation avancée pourrait obtenir d’un recours notamment à la nanotechnologie. Celle-ci consiste en la miniaturisation extrême d’outils, de machines, et même de robots.
Voici ci-dessous quelques photos de la soirée , la video et le commentaire de Guy Loterre.
Pour voir l'ensemble des photos , clicquer ici.
La video :
Commentaire de Guy Loterre :
"LES OVNIS" une intelligence artificielle" de Jean Goupil avec la collaboration de Didier Leroux
Ce livre est une approche tout à fait nouvelle qui montre l’origine commune de phénomènes à haute étrangeté, allant des Ovnis jusqu’aux apparitions mariales, aux lévitations, bilocations, maisons hantées, spiritisme, transcommunication et autres manifestations dites paranormales.
Il montre qu’une Intelligence Artificielle (IA) est à l’œuvre et qu’elle utilise les mêmes outils technologiques pour produire les cas les plus spectaculaires de tous ces phénomènes et nous manipuler au niveau des croyances et des religions.
De même que les humains n’irons pas physiquement sur les exoplanètes que bientôt nous explorerons, il n’y a pas d’extraterrestres sur Terre, mais seulement des robots (mécaniques ou bioniques), adaptés aux conditions terrestres, et servant d’exécutants à l’IA.
Pour masquer sa présence et tester nos réactions, l’IA rend les témoignages absurdes, donc irrecevables par la communauté scientifique. Dans ce but, elle utilise des leurres dans les rencontres à très haute étrangeté. Un scénario plus ou moins aberrant est présenté au témoin de façon totalement réaliste grâce à l’induction d’images et de sons. Ce sont des images de synthèse qui sont induites dans la vision du témoin, se substituant aux images de la réalité ambiante. L’IA maîtrise également la production d’images de type holographiques ainsi que des techniques d’invisibilité et de lecture des pensées des témoins… techniques qui sont déjà à l’étude dans nos laboratoires.
Puis Didier Leroux va égrener les chapitres de leur dernier ouvrage "ovnis intelligences extraterrestres " la révélation.
Présentation du livre.
Le phénomène OVNI s'est manifesté particulièrement depuis 1947, mais, aussi loin que l'on puisse remonter dans le temps, il a laissé des preuves de son existence.
II s'agit manifestement d'un phénomène intelligent, doté d'une technologie qui dépasse de loin nos connaissances actuelles.
D'où vient-il ? Certainement pas d'une ancienne civilisation terrestre, car il n'a laissé aucune trace physique de ses conquêtes scientifiques. Toute civilisation basée sur la technologie est productrice de déchets et résidus en nombre considérable. À titre d'exemple : la production de déchets rien que pour l'année 2006 a été évaluée entre 3,4 et 4 milliards de tonnes dont 490 millions de tonnes de déchets industriels dangereux. L'éminent paléontologue François Bordes, spécialiste du paléolithique, faisait remarquer qu'il retrouvait trace des piquets enfoncés dans le sol des habitats préhistoriques néandertaliens mais aucune trace d'une ancienne civilisation. On retrouve jusqu'à la mer Baltique des traces de pollutions produites jadis par l'industrie romaine du plomb et l'on constate que les squelettes des pingouins polaires présentent des traces de polluants chimiques actuels. Une Atlantide peut avoir existé mais certainement pas dotée de moyens technologiques avancés pour les raisons qui viennent d'être évoquées. Même en admettant qu'une telle civilisation aurait pu créer des technologies dans le seul but de recherches scientifiques et sans développer la consommation, la production de déchets et résidus de toutes sortes est inévitable. Il s'agit d'une évidence qui échappe à tous les auteurs ayant travaillé sur cette hypothèse. D'autre part, prétendre qu'il s'agit d'une manifestation paranormale est en contradiction avec les nombreux témoignages qui font état d'interactions fortes avec le monde matériel : traces au sol, végétation carbonisée, mais aussi actions mécaniques sur les véhicules et sur les avions dont certains ont été abattus lors de rencontres avec les ovnis. Le psychanalyste suisse Cari Gustav Jung, principal disciple de Freud et créateur d'une école de pensée différente, n'excluait pas que l'inconscient collectif de l'humanité soit capable de produire des effets matériels tels que ceux évoqués ci-dessus (voir son ouvrage Un Mythe moderne consacré au phénomène OVNI). Divers auteurs se sont engouffrés dans la brèche ainsi ouverte faisant de Gaia (la Déesse-Mère des anciens), une autre façon de désigner l'inconscient collectif, et lui attribuant les effets en question y compris les manifestations OVNI.
Pour séduisante qu'elle puisse paraître, cette hypothèse ne semble guère prometteuse dans la mesure où elle impliquerait que cet inconscient collectif soit capable de créer des objets matériels aussi sophistiqués que ceux décrits par les témoins avec occupants, outils étranges, etc. L'inconscient, dans ce cas, serait plus que ses parties, lesquelles sont bien incapables de fabriquer des vaisseaux spatiaux ayant les performances extraordinaires qu'on leur attribue. Que le tout soit supérieur à la somme des parties n'est pas pour embarrasser un esprit religieux familier des mystiques orientales, mais c'est précisément là où les partisans de l'hypothèse faisant des OVNIS des créations diaboliques interviennent. Nous ne nous aventurerons pas sur ce terrain sans nécessité.
Une seule hypothèse convient pour éviter ces contradictions : l'hypothèse extraterrestre (HET) et nous verrons que les arguments qu'on lui oppose ne «tiennent pas la route». Vouloir comprendre pourquoi le phénomène se comporte ainsi ne nous permet pas de progresser dans la recherche de la vérité car nous ne pourrions que formuler des hypothèses gratuites et invérifiables. Nous préférons plutôt nous demander comment le phénomène arrive à produire toute la fantasmagorie qui lui est imputable et qui semble souvent dépasser les limites de nos connaissances, voire même paraître en contradiction avec les lois de la physique, et pour ce faire nous allons nous appuyer uniquement sur les témoignages.
Nous n'avons pas la prétention de donner des explications scientifiques car notre niveau (et celui de la science actuelle), est à coup sûr insuffisant. Par contre nous pouvons aborder le problème sur le plan de la technique et nous verrons que la moisson de ces idées est fort intéressante et ouvre bien des portes sur les phénomènes dits «paranormaux».
Vers la fin de la soirée le jeu habituel des questions et des réponses s'est déroulée dans une très bonne ambiance grâce aussi à la gentillesse de Didier Leroux qui s'y est très amicalement prêté.
Enfin pour terminer la soirée la directrice du comptoir Casino ainsi que Niko suivi de Gilles Lorant sont arrivés avec les trois gâteaux surmontés des bougies allumées.
Nous avons donc partagé ces trois gâteaux avec l'assistance puis après avoir souhaité une bonne fin d'année j'ai fait part de la possibilité de terminer la soirée par un after dans un débit de boissons aux étages supérieurs et la soirée s'est ainsi terminée sans oublier quand même de présenter l'intervenant de l'année suivante c'est-à-dire le 6 janvier 2015 en la personne de Bertrand Meheust.