N° 29 - LDLN disparait ? - jeudi 29 septembre 2016
Revue Lumières Dans La Nuit
La Gazette de l’Ufo
LDLN disparaît ?
Numéro 29 du jeudi 29 septembre 2016
Gwion Coat ar Roc’h
I - Attendez vous à savoir… que LDLN disparaît des éditions…
@Michel Turco : Pour information aux abonnés de la revue LDLN. Faire suivre si j'ai oublié quelqu'un :
« Bonjour à tous et à toutes,
Voilà quelques semaines que nous n'avons plus de nouvelles des responsables de la revue LDLN.
Les différents liens que nous pouvions avoir avec eux, ne répondent plus. Je viens d'avoir une longue discussion avec Joël Mesnard qui lui aussi est inquiet pour l'avenir de la revue.
Je pense qu'il est nécessaire d'avoir une réponse à nos questionnements, et connaître l'avenir de la revue, pour ce faire je propose:
1/ De faire le point sur les différents abonnés de la revue, pour ce faire, envoyer moi en privé vos noms, prénoms, numéro de téléphone...
2/ Si parmi vous il y a une personne qui habite dans le secteur des responsables de la revue, pourriez-vous vous déplacer afin de leur demander de joindre Joël ou moi. Voilà pour l'instant nos propositions, réalisées un peu dans l'urgence, mais il serait dommage de voir LDLN disparaître.
Avec mes amitiés
Jean-Louis Lagneau
jlouisdu77@hotmail.fr
0615920660 ».
@Guy Coat : Il est pourtant prévu des conférences à Laon les 11 et 12 février 2017 avec entre autres Laurent Boulanger et Philippe Solal. Voir le site du GEEPI. (Voir l’affiche ci-dessus).
@Michel Turco : Je viens de recevoir de Gérard Lebat cette information parue sur Facebook :
« Bonsoir Jean Louis,
Je suis désolé de devoir vous apprendre que nous sommes obligés d'arrêter la parution de LDLN, car l'activité est non seulement pas rentable mais nous fait maintenant perdre de l'argent.
La société va être placée en liquidation compte tenu de ses résultats.
Pour nous c'est malgré tout une immense peine que nous avons beaucoup de mal à surmonter.
Le numéro 427 ne paraîtra donc pas. Je vous remercie pour toute l'aide que vous nous avez apportée et j'espère que nous pourrons rester en bons termes et en contact. À très bientôt.
Bien cordialement, Laurent Boulanger, LDLN ».
@Guy Coat : Bon sang ! Pourquoi ne pas essayer de mettre LDLN en ligne sur Ovni Paris et on s'en occupe tous.
@Patrice Galacteros : Réponse rapide :
Je peux publier des articles sur OVNI PARIS, comme je le fais avec la Gazette mais est-ce la solution ?
En effet la parution des articles sur le Web, donc en économisant toute la partie composition, impression, distribution, n'est pas si facile. Il n'y a qu'à voir l'Usine à Gaz de ciel & Espace : Ça me saoule et bien qu'abonné de longue date à cette revue, je ne vais pas consulter sur mon PC ; pour moi et pour cette revue le papier est irremplaçable et à mon prochain réabonnement je repasse au papier. Mais LDLN c'est différent. Le texte l'emporte sur les belles photos donc ça pourrait être une revue web , mais . . .
Il y a le problème, un gros problème, celui du piratage. Si comme la Gazette de l'Ufologie, c'est accessible sans barrière, n'importe qui peut copier et mettre à disposition du public. Et donc il ne faut pas compter faire de l'argent, sauf avec une nouvelle méthode de distribution qui serait cryptée, que je ne connais pas, hélas. Ce n'est pas mon domaine de compétence.
De plus, me souffle Laurent Chabin, il y a le problème de la propriété de la marque LDLN et des articles !
C’est difficile mais avant de jeter l'éponge, je vais regarder sur le web s’il existe une solution technique et si possible gratuite, pour résoudre ce problème.
@Guy Loterre : Bonjour à tous,
Pour être très clair, j'ai en son temps, c'est-à-dire à la reprise de LDLN par le couple Sylvie et Laurent Boulanger, écris pour leur proposer des échanges de bannières, de les inviter à venir à Ovni Paris pour nous faire part de leur sentiment sur le phénomène Ovni ainsi que de ce qu'ils envisageaient de faire de LDLN. Toutes ces demandes sont restées lettres mortes. Aussi Ovni Paris ne fera rien de plus et j'invite tous ceux qui veules s'investir dans une aide apportée à le faire en leurs noms propres… (… jouant dans sa cour et restant à sa place… Encore faudrait-il savoir où se trouve cette place, donnant lieu à une regrettable polémique, la suite de cet échange restera donc confidentielle. GC).
@Gilles Lorant : Je n’ai jamais lu entièrement ce journal, ne me suis jamais abonné, mais ai tellement entendu parler en bien de ceux qui le portaient à bouts de bras. Et puis, il fut l’un des rares à ne pas céder à la tentation du sensationnel en étant toujours, parait-il, factuel, contrairement à tous les magazines et blogs à sensations.
J’en conclus qu’il me paraissait être une bonne référence pour tout chercheur sérieux en la matière. Alors, oui, il faut tout faire pour en ressusciter l’esprit d’une manière ou d’une autre.
Et s’il est possible d’associer ce projet à Ovni-Paris, pourquoi pas ? Mais une petite étude de viabilité économique s’impose alors en préalable), le couple Boulanger pourrait être le bienvenu. Mais ce n’est pas gagné d’avance : le bureau est bénévole et deux personnes sur les quatre sont en activité professionnelle, or une telle entreprise est chronophage.
@Michel Turco : Bonjour Guy (Coat)
J'ai eu Joël Mesnard au téléphone et nous avons convenu de mettre en place un petit groupe d’irréductibles "gaulois" (c'est moi qui rajoute !), qui prendrait en main la continuité de LDLN sous une forme qui reste à définir.
On pense qu'une dizaine de personnes sérieuses et de confiance communiquant par messagerie dans un premier temps sur des rapports d'observations, des études de cas ou d'évènements en rapports avec le phénomène serait un début. Suivrait la constitution d’une bibliothèque incluant des dossiers d’études, des cas retenus qui seraient mis à dispositions des membres, chacun ayant son mot à dire. Et si tout va bien, on envisagerait la publication d'un bulletin sur papier avec les cas les plus probants. Voila en quelques mots le projet si Laurent et Sylvie Boulanger abandonnent le tout ! Si tu es partant, je te tiendrais informé de l'avancée du projet.
(Ceci demande réflexion ! Lumières Dans La Nuit n'est pas une association à but non lucratif, mais une société commerciale, créée en 1957 par Monsieur Raymond Veillith, et domiciliée à Chambon sur Lignon. Elle est toutefois liée à l'association France Ufologie (anciennement ANELDLN), conçue pour répondre à la demande des individus désirant faire activement de l'ufologie,l’étude des phénomènes dits Ovni, Objets Volants Non Identifiés, mais qui, se sentant isolés, ont du mal à passer à l'acte, enquêter et étudier.
Ses activités regroupent des enquêtes sur le terrain transmises à la rédaction, à la constitution d'un catalogue d'observations Documentation UFO, la distribution de la revue, l'établissement d'un catalogue d'ouvrages ufologiques, etc.
LDLN édite à partir de février 1958 un bulletin que l'on peut se procurer par numéros ou par abonnement. Le journal propose à toute personne majeure qui en fait la demande une "carte d'enquête officielle". Monsieur Raymond Veillith met l'accent dès le premier numéro sur le fait parfois ignoré que presque toutes les questions vitales et ou importantes sont l'objet des plus vives controverses ; bien évidemment, les Ovnis ne font pas exception. Dans le premier éditorial, Monsieur Raymond Veillith déclare que bien des questions peuvent être éclairées dans un jour nouveau à condition que les éléments décisifs, propres à trancher les problèmes apparemment insolubles, soient mis en évidence. Cette ligne de conduite a constamment été suivie.
De 1958 à novembre 1962, la revue est mensuelle et ronéotypée en majeure partie. Après cette date, elle est imprimée passant bimestrielle de 1964 à la mi-1968.
L'arrivée de Monsieur Fernand Lagarde au printemps 1968 permet à la revue de redevenir mensuelle avec la sortie des numéros sous-titrés "contacts lecteurs". En 1969, le comité de rédaction comprend Messieurs Aimé Michel, Lagarde, Veillith, Michel Monnerie et Ollier.
Dès la fin des années 1960 et dans les années 1970, sont mis en place :
- Des réseaux de radio - amateurs et de photographes du ciel Résufo,
- Un groupe de techniciens susceptibles de se pencher sur les problèmes de détection des phénomènes physiques et sur la création de stations équipées scientifiquement,
- Une commission fichier FiDUFO pour le traitement électronique de l'information.
Le vendredi 22 mars 1974, sur France Inter, Jean-Claude Bourret formule une conclusion de sa série d'entretiens sur les ovnis, aux côtés de Claude Villers. Monnerie, membre influent de cette association, y est invité et annonce que LDLN organise une soirée de surveillance du ciel national pour le lendemain. Le lendemain, malgré la publicité autour de l'opération, aucune photo n'est envoyée aux auteurs de l'émission.
En 1978 est créée le CVLDLN par François Diolez déclaré président et René Faudrin, vice-président. Monsieur Gilles Munsch contribue deux mois plus tard, comme responsable des enquêtes.
Les années 1980 ayant plutôt été marquées par une stagnation, un reflux de l'intérêt manifesté aux ovnis, la revue passe de nouveau bimestrielle.
En 1985, Monsieur Joël Mesnard rachète la revue à Monsieur Veillith. Il est le seul à diriger la revue publiée à 15000 exemplaires depuis Saint Julien - l'Ars, sans journalistes. De multiples associations et auteurs ufologues, Messieurs Gildas Bourdais, Jean Sider notamment, se chargent des écrits. Joël Mesnard compose la revue et écrit quelques articles.
Du côté du CVLDLN, Monsieur Munsch prend la vice-présidence à la mutation de Monsieur Faudrin, puis la présidence en 1988 lorsque Monsieur Diolez quitte le monde de l'ufologie. Après une prise de distance entre LDLN et la CVLDLN, cette dernière est dissoute à la fin des années 1990.
A partir du 1er Octobre 2014, après le n° 419, la publication de LDLN est réalisée par Sylvie et Laurent Boulanger, à Sainte Croix (Saône et Loire)… jusqu’à… ces derniers temps où ils abandonnent devant le peu d’intérêt des lecteurs sur papier actuels !
http://rr0.org/org/eu/fr/asso/ldln/index.html
(Espérons que cet issue regrettable ne sera pas suivi d’une indifférence blasée identique à celle d’animaux ruminants de races diverses comme devant le passage d’un train à grande vitesse sur voie rapide et ferrée… GC)
@Georges Metz : J'ai été particulièrement affecté par l'abandon de la revue LDLN. Je connaissais cette revue de longue date depuis plus de quarante ans. Je me suis abonné quand j'ai rencontré Raymond Veillith chez lui au Chambon sur Lignon en haute Loire. Il y tenait un home d'enfants tout en s'occupant de la diffusion de la revue LDLN et surtout la contribution d'un grand nombre de délégués régionaux.
Je me souviens d'un homme ouvert et dévoué à la cause ufologique. Je crois me rappeler que son père était pasteur protestant. C'est je crois, en 1988, que la revue a été reprise par Joël Mesnard qui travaillait seul à plein temps avec peine pour publier quatre numéro par an.
C'est sans succès que j'avais offert mon aide pour reconstituer le principe des délégués régionaux qui constituait une base solide de renseignements et d'enquêteurs bénévoles.
J'ai participé comme j'ai pu aux enquêtes à ma portée quand je travaillais et plus encore à ma retraite. A moins de disposer de gros moyens, il n'est pas envisageable de diffuser une revue de façon artisanale. J'avais suggéré à Laurent Boulanger de diffuser la revue sous forme informatique. Depuis, je n'ai pas eu de suite, le contact téléphonique étant impossible pour en discuter. Le couple paraissait s'en sortir. Je ne sais pas ce qui s'est passé ? Je maintiens mon aide pour trouver une solution qui soit viable pour pérenniser la revue.
Pour ma part, je verrais bien un site ouvert moyennant une inscription des lecteurs curieux et participant à l'enrichissement bénévole de ce site. Un système quasi gratuit à la manière du fonctionnement de l'Académie d'Ufologie. Les numéros de publication sous forme PDF, qui permettent une recherche d'un mot ou d'une phrase, pourraient comporter des renvois sur site d'autres documents. Au besoin, j'ai même envisagé d'informatiser mes anciens numéros LDLN dans une base de données. J'engage chacun à réfléchir et à apporter des idées pour ce projet.
@Guy Coat : Merci Georges car moi aussi j'ai le moral dans les talons avec près de cinquante années non seulement de lecture mais aussi de collaboration.
@Gérard Deforge : Belle initiative Georges. Mais, dans tous les cas, il s'agira d'un travail "kolossal" pour remettre tout cela en place. Avons-nous le tems et les forces pour ce faire ? Et quelle serait l'implication fort utile de Laurent et Sylvie Boulanger dans cette refondation. Il faudrait pouvoir les contacter directement, car, apparemment, ils sont jeunes, en pleine forme, et semblaient désireux de vouloir oeuvrer utilement pour l'ufologie...Et maintenant?
Laurent et Sylvie Boulanger à Toulouse
@MyrBel : Quel dommage qu'une revue comme LDLN tombe dans l'oubli et ne paraisse plus.
Comme dit Guy Coat secouons nous pour les aider. Il y a un système qui s'appelle Kisskiss Bank
qui permet à des donateurs d'aider une revue ou autre chose, pourquoi LDLN ne le fait pas ?Tout le monde pourrait donner quelque chose pour relancer la machine. Alors quoi ?
Tu as raison Guy (Loterre), ça n’est pas OVNI Paris qui peut sauver LDLN. Mais il y a certainement une ou des autres raisons qui ont fait plonger cette revue. Comme Gilles j'ai tardé à m'abonner et maintenant que j'y suis ça s'arrête. J'ai donc payé pour rien car je n'ai reçu qu'un numéro. J'ai vu Sylvie et Laurent Boulanger au Repas Ufo de Toulouse et leur présentation était très bien. Maintenant ils auraient dû faire plus de communication car peu de gens grand public connaissent cette revue. Toutefois donc, avec un kisskiss bank peut-être pourraient-ils repartir ?
Pour Kisskissbank, il faut ouvrir un projet avec le détail et le but pour obtenir des fonds. Tout le monde peut donner de l'argent pour soutenir le projet. Pour ça il faudra relayer l'info de demande de soutien par Facebook et tous les moyens, E-mails, etc. possibles. Avec Kisskissbank de nombreux projets différents, thèmes livre, musique, mode, éditions diverses, aventures ça fonctionne. Par contre, avant de faire ça il serait intéressant de savoir les vraies raisons qui ont amenées l'écroulement de la revue. Comment faisait l'ancienne équipe avec Joël Ménard ? (Il était seul MyrBel. GC)
@Guy Coat : Bingo Myr !
"... Par contre, avant de faire ça il serait intéressant de savoir les vraies raisons qui ont amenées l'écroulement de la revue. Comment faisait l'ancienne équipe avec Joël Ménard ? »
Tout comme d'autres revues par ailleurs et de rencontres aussi. Y aurait-il des pressions ou des influences contraires ?
@Gérard Deforge : Bonne idée Myriame. Reste à savoir combien de contributeurs espérés, il faudrait avoir la liste de tous les abonnés et créer une association pour gérer les fonds, et à quelle hauteur faudrait-il investir pour que LDLN puisse repartir ?
@Jean Claude Venturini : Sans me tromper le pense que l'équipe de Joël était réduite à lui même qui faisait tout hors le travail de l'imprimeur.
@Guy Coat : Je confirme. A tel point qu'il s'en était presque rendu malade ne laissant le travail à personne d'autre que lui-même sans déléguer, c'est pourquoi envers lui va toute mon affection. Des gens comme ça, ça existe encore ? (Joël aurait-il subit des pressions ? Lire son livre ‘’Men in Blak ou quelque chose comme ça…GC).
Présentation de Laurent Boulanger à Toulouse
@Jean Claude Venturini : à Daniel Robin,
Tu m'avais dit au téléphone que tu avais envisagé de reprendre LDLN. Il semblerait que la situation de la reprise par Boulanger n'a pas été viable. Il est clair que cela ne peut pas s'appuyer financièrement sur cette seule activité. Penses-tu pouvoir maintenant après étude, faire quelque chose dans un cadre élargi d'OVNI DIRECT ?
@Daniel Robin : Depuis quelques temps déjà le contact avait été rompu entre le couple Boulanger qui avait repris le " flambeau " de LDLN et Joël.
Il s'en était plaint au téléphone et ne comprenait pas cette attitude : Laurent et sa femme ne répondaient plus aux mails de Joël.
Tout avait pourtant bien commencé et le couple semblait motivé.
Nous avons tous cependant constaté une baisse notoire de la qualité du contenu de la nouvelle revue.
J'ignore les raisons qui sont à l'origine de cette interruption mais c'était, nous en avions tous conscience, un challenge pas facile à relever de continuer l'oeuvre de Joël Mesnard et Raymond Veillith.
C'est là où on prend conscience du travail exceptionnel qui a été fait par Joël pendant au moins 25 ans.
Joël avait pensé à l'équipe de l'association Ovni Investigation et d'Ovnis - Direct pour reprendre la gestion de LDLN.
Pour des raisons qui sont difficiles à expliquer ici, cela n'a pas abouti.
Présentation de Laurent Boulanger à Toulouse
En ce qui me concerne, j'ai toujours eu d’excellents rapports avec Joël et j'admire son travail.
Nous avons échangé de nombreuses informations sur des cas d'observations. Nous avons aussi ne nombreux points communs sur des sujets autres que l'ufologie. Il est évident pour moi que LDLN doit continuer à vivre sous une forme où sous une autre.
Voici quelques idées parmi de nombreuses autres, possibles :
La meilleure solution serait de créer une nouvelle équipe solide de contributeurs bénévoles (un comité de rédaction) qui prendrait en charge toute la partie rédactionnelle (enquêtes et articles de fond).
Il faudrait fixer une ligne éditoriale rigoureuse.
La partie publication pourrait prendre deux formes : numérique et papier.
La partie publication papier pourrait être sous-traitée par un imprimeur professionnel.
Il faudrait déjà savoir combien il reste d'abonnés à la revue et fixer de nouveaux tarifs d'abonnement compatibles avec les frais occasionnés par la publication papier.
Les frais pour la version numérique resteraient minimes.
Faire jouer les réseaux à fond pour sensibiliser la communauté ufologique et engranger un maximum d'abonnés.
N'oublions pas que l'acronyme LDLN jouit d'un grand prestige aux yeux des ufologues. C'est un atout qu'il ne faut pas négliger. LDLN c'est comme une sorte de label de qualité, une " marque de luxe " si je puis dire, c'est-à-dire une garantie de qualité et de sérieux. Je crois que LDLN a encore de beaux jours devant elle et qu'elle va renaître de ses " cendres".
@Gilles Lorant : Oui, et merci de ce réconfort montrant la volonté de mobiliser les ufologues et chercheurs à pérenniser l’entreprise rigoureuse des fondateurs dans le même esprit factuel, sans rechercher le sensationnel dans un but commercial.
Pour l’instant, tout le monde est encore sous le choc de la nouvelle.
- Fixer une ligne éditoriale rigoureuse,
- Consentir beaucoup de temps, voir occasionnellement un peu d’argent,
- Mettre en commun des moyens techniques logistiques et d’édition,
- S’assurer la cohésion de travail et l’esprit d’équipe d’une organisation répartissant des rôles consentis par tous… fiable dans le temps.
Hum… plus facile à dire qu’à faire dans le milieu ufologique bénévole qui se caractérise par un profond individualisme dans un esprit d’indépendance.
Un manager, leader opérationnel pour animer l’ensemble ?
A peine pensable ; il faudrait qu’il soit tacitement accepté par tous… longtemps.
Une bande de potes avec un fonctionnement collégial ?
Par expérience, cela ne tient guère dans la durée.
A mon avis, dans ce genre de projets, la plus grosse difficulté tient moins aux aspects matériels qu’humains.
Il y a en effet toujours moyens de s’arranger dans un montage juridico financier (contrairement, à ce que l’on pense, l’argent ne manque pas pour ceux qui savent s’y prendre en s’adossant aux structures adéquates avec de bons conseils).
Mais l’idéal reste l’entrepreneuriat du ‘’tâcheron’’ passionné et solitaire que rien ne peut dissuader d’arrêter, c’était peut-être le secret de la longévité de LDLN à l’époque des fondateurs.
Or, l’époque a changé, les gens aussi…
Les anciens, les ufologues de la ‘’vieille école’’, n’ont plus la ‘’niaque’’ de leur jeunesse pour porter un tel fardeau et ils ont droit au repos.
Alors qui plutôt que comment ?
J’ajoute Myriam Belmihoub et Guy Coatanroch à l’adresse de mes réflexions, parce qu’ils proposaient dans leurs récents mails, une bribe de solution.
Personnellement, je ne sais pas quoi faire, mon planning étant par ailleurs déjà serré, ou dire de plus, mais reste à l’écoute, prêt à participer dans la mesure de mes petits moyens à tout effort qui me parait sensé et viable pour sortir de cette crise.
II – Ca tombe bien… le vide serait plein, d’après Trinh Xuan Thuan !
(Il y aurait donc espoir pour que LDLN le fasse… le plein ! GC)
@Guy Coat : « Qu’est-ce que le vide ? Est-ce rien ? Ben si, le vide existe, c’est donc qu’il n’est pas rien. Le vide est infini comme absence de matière dans un espace défini qui peut-être l’Univers entier. On confond le vide avec le Néant qui signifie absence d’existence. L’espace au-delà de notre planète n’est pas vide. Les astronautes traversent plus de matière pendant les premiers kilomètres de la couche atmosphérique de la Terre que pendant tout le reste de leurs voyages ; néanmoins l’Univers n’est pas vide, il contient des centaines de milliards de galaxies chacune recelant des milliards d’étoiles même si au final, c’est peu par rapport au volume de l’Univers qui serait en expansion constante.
Depuis l’avènement de la mécanique cantique, on sait de l’espace, à des échelles infinitésimalement petites, qu’il n’est pas vide mais peuplé d’un nombre inimaginable de particules et d’antiparticules virtuelles.
Le vide quantique est un vide ‘’plein’’, artisan de la diversité et de sa complexité.
Si la matière est presque composée d’espace vide, habitée seulement par des électrons virevoltants dans la vaste salle de bal de l’atome, comment se fait-il que nous ne pouvons pas passer notre main à travers ou jouer les passe muraille en traversant les murs ? Et bien c’est à cause de l’action conjointe des forces électromagnétiques sur les particules dotées de charges électriques dans les atomes et les lois étranges de la mécanique cantique qui gouvernent le comportement des électrons autour des noyaux d’atomes. Propos recueillis par Olivia Recasens».
III – Les éditions Atlantes changent de rue… heu non… changent de site.
@Christel Seval : J'ai le plaisir de vous présenter notre nouveau site www.editions-atlantes.fr
Modernisé et simplifié, il est compatible avec 4 formats d'écrans différents dont ceux des smart phones.
Il s'accompagne d'une adresse mail spécifique : contact@editions-atlantes.fr
L'adresse mail actuelle interkeltia@hotmail.fr ne disparaîtra pas et vous pourrez continuer à l'utiliser.
Une nouvelle page Facebook sera active prochainement et nous permettra de mettre en place une promotion permanente.
@Guy Loterre : Juste pour information, je viens de recevoir de la part de l'éditeur Christel Seval pour les éditions Atlantes - Interkeltia le livre tant attendu de Radu Cinamar, ‘’Découverte au Bucegi , Base Extraterrestre et histoire de l'humanité’’, livre de 237 pages, traduit en Français avec une préface de Daniel Hofnung que nous avions reçu à Ovni Paris le mardi 1 mars 2016, pour traiter de ce sujet brûlant, qui ne restera pas longtemps dans l'indifférence générale et qui donne une ouverture nouvelle de la connaissance de l'humanité .
@Gérard Deforge : (Découverte au Bucégi). Lorsque vous aurez lu ce livre, si cela sera le cas, vous pourrez me le signaler. Je vous enverrai alors un document complémentaire qui sera très éclairant, par rapport à l'une des découvertes que vous ferez dans ce livre. J'ai envoyé ce document à Christel et à Daniel, pour le moment.
(Suite à un débat sur l’économie de consommation et ses effets sans raison d’être ici mais la suite est un débat passionné entre deux Amis… GC)
… une porte semble s'ouvrir vers un nouveau monde: c'est dans le livre de Radu Cinamar. Qui contient non pas UNE découverte comme l'indique le titre du livre, mais DEUX, aussi fondamentales l'une que l'autre. A découvrir avant d'en discuter....très précautionneusement, car c'est un baril de poudre ! En fait, donc, deux barils: un pour chaque hémisphère de notre cerveau…
@Gilles Lorant : Tu devrais savoir que j’ai comme qui dirait un ‘’don’’ pour anticiper les choses… je connais le contenu du bouquin. C’est vrai que j’ai lu des extraits envoyés par Christel concernant quelques détails.
Il s’agit d’une retranscription plus symbolique qu’il n’y parait malgré qu’il fourmille d’anecdotes personnelles : un message pour les populations d’Europe de l’Est d’abord, laquelle ont gardée l’empreinte de la culture conspirationiste antiaméricaine héritée de dizaines d’années bolcheviques.
On y trouve la stigmatisation de tous les fondements idéologiques occidentaux : institutions religieuses, mouvements occultes du libéralisme, institutions financières, etc. Et tout çà pour finalement présenter la Roumanie comme un pays historiquement privilégié dans le concert des nations.
Evidement, puisqu’il ne peut s’agir d’une place forte en termes de niveau de vie ou de PIB, sa place devient mystique en s’inscrivant comme anthologique dans l’histoire de l’humanité. Poutine n’aurait pas fait mieux pour redorer le blason de la Russie et fédérer autour d’elle les anciens assujettis du bloc de l’Est (l’âme slave est mystique).
Un baril de poudre, déjà à ce niveau de lecture là.
Mais en plus, comme tu le sais, j’ai de bonnes raisons de croire que sur le fond l’histoire est grosso modo vraie même si la trame est plus mondiale que roumaine ; oui, à lire.
Et je ne vois pas bien où se trouve les précautions à prendre pour le lecteur désireux d’en parler : ce n’est qu’un coin du voile de l’épopée humaine, devenu anecdotique parmi tout ce qu’on peut déjà trouver sur Internet. Et comme pour Internet, il n’y a rien de probant ou visible pour l’instant : il faut se contenter de croire.
Le convaincant est-il à venir avec les bouquins suivants ? A mon avis non, parce que ce genre de découverte ne vaut que par l’assimilation complète et individuelle de la remise en question des aménagements de la ‘’vérité’’ établie : il est trop tôt. Radu Cinamar réitère la ‘’Caverne des Anciens’’ de Lobsang Rampa qui date des années 70 soit 40 ans de maturation pour franchir l’étape du ‘’c’est exactement à cet endroit et maintenant’’.
A mon humble avis, il faudra peut-être encore autant de temps pour passer à l’étape d’après : ‘’maintenant, la preuve’’ et ce sera dans une conjonction d’événements à la hauteur de la révélation.
@Gérard Deforge : Ton message, Gilles, est bien riche d'idées, mais, pour moi, il est la preuve que tes anticipations, sur le sujet, doivent être sérieusement complétées et corrigées, (surtout corrigées !) par une lecture fine et attentive de ce livre ; le reste, excuse-moi... c'est un peu (beaucoup) du...verbiage ! Je connais parfaitement les références auxquelles tu t'accroches. C'est hors sujet. Désolé ! De toute façon, à propos de ce livre, il faut s'attendre à une campagne sévère de désinformation qui pleuvra de tous les côté, même de là où l'on ne l'attend pas. Et ton mail fait partie de cette cohorte. Et je comprends cela. Ton discours traditionnellement professoral, ici, ça ne fonctionne pas. Et crois-moi, je suis très bien placé pour m'exprimer ainsi à propos de ce livre. Et connais-tu l'avant propos de l'éditeur? NON. Connais-tu la préface de Daniel ? NON ! Je n'insiste pas...
@Gilles Lorant : Soit, de ma part, c’est objectivement du verbiage.
Mais, si tu ne connais pas personnellement l’auteur, comment peux tu distinguer ce qui de sa part est du verbiage aussi ? As-tu toi-même fréquenté l’équivalent d’un Arsenie Boca, un Massini, un Bocadea, un Cézar, les as-tu sondé ? Tu as seulement envie d’y croire, sans moyen de faire la part des choses.
Quand il s’agit de bouleversements, la part des choses est faite par d’autres à la place du lecteur, au travers de révélations distillées selon un protocole basé sur la résonance culturelle. C’est vrai que je n’ai pas encore lu le livre, mais je fais publiquement ici le pari qu’il explique d’une manière ou d’une autre ce protocole (qui est efficace seulement sur de longues durées).
Je ne pense vraiment pas me tromper… Pourquoi ?
Parce que c’est un invariant chez toute personne qui prépare une rupture majeure, qu’elle soit d’ordre criminel (*1) ou salvatrice.
Allez, je te fais même le pari que le mode d’emploi est mis sur le compte justement des Illuminatis ou un truc de ce genre (via le fameux Manssini ?) qui est à tous les coups décrit comme négatif.
C’est là qu’est le trait qui différentie le verbiage de la réalité : il s’agit d’une grossière désinformation qui donne en fait la clé de la compréhension de la structure de l’ensemble. Grossière désinformation permettant aux matérialistes de critiquer de manière argumentée qu’il s’agit uniquement de foutaises nationalistes (de la pub pour la Roumanie). Toute personne interprétant au premier degré tombera dans le panneau : n’oublie pas que sans diable (ou enfer), il n’y a plus de dieu (ou paradis, ou idéal positif ou tout ce que tu veux de bien). Et j’ai l’impression que tu interprètes ce bouquin au premier degré...
La micmac politico stratégique impose une telle prudence quand on veut jouer avec les grands (US, Russie… en fait un peu tout le monde) qu’il n’est pas possible de livrer crûment des infos d’une telle importance sans prendre de gros risques personnels. Alors, la meilleure stratégie pour l’auteur est de donner le bâton pour se faire battre (notion de falsification) là où çà fera le moins mal… de la part des virulents qui ne sont pas prêts. Mais dans le brouillage (le diable) il y a toujours une clé pour ceux qui sont considérés aptes à comprendre (le dieu) de par le monde : l’info est alors indissociable de la désinformation.
Normalement, c’est avec le dernier bouquin que la désinformation devrait apparaître plus clairement : l’as-tu l’eu ?
Oui, il y aura une volée de bois vert dès la fin de cette année pour accueillir le tome 1, j’ai déjà prévenu Christel il y a un moment. Mais ces gens là seront confondus avec le tome 5 ou peu après et je n’en ferais sûrement pas parti, au contraire, j’aurai même peut-être d’autres infos de premières mains pour le conforter. Cela ne doit pas m’empêcher de mettre en évidence ce que je considère comme du brouillage jusqu’à preuve du contraire.
(*1) :
Les grands criminels ne peuvent pas s’empêcher d’annoncer en nom propre ce qu’ils se préparent à faire. L’exemple le plus criant était « Mein Kampf », mais c’est vrai aussi pour les serials killers et les terroristes : les services d’ordre et concernés prennent maintenant leurs avertissements avec sérieux. C’est complètement différent quand les idées ou le mode opératoire est mis sur le dos de quelqu’un d’autre (cas du bouquin de Radu).
Alors, je te prie de retenir un peu plus tes élans aveugles ressemblant à des jugements à l’emporte pièces quand il s’agit de choses que tu ne connais pas, Gérard. Comment pourrais tu comprendre mes raisonnements basés sur le terrain des anti chambres de pouvoir si tu ne les fréquentes pas assidûment. Tu dis être bien placé à propos de ce livre ?
Tiens donc !
Tu n’as été qu’un intermédiaire pour la traduction (alors que j’ai beaucoup parlé du contenu de ce livre avec Daniel et Cristel bien avant que tu ne sois au courant de l’existence de ce bouquin), sans parler de mon passage en Roumanie et de mon intervention auprès du cardinal de Turin (cf mes mails de l’époque), ainsi qu’auprès de Francs Maçons (Cristel est au courant), très bien placés pour avoir un point de vue éclairant… et j’en passe.
Un peu plus de retenu, mais surtout de la modestie, parce que ces élans égotiques sont un peu trop fréquents chez toi pour que tu ais un vrai rôle important à jouer dans les affaires du monde.
Et c’est dommage. Amitiés,
@Gérard Deforge : Mes remarques dans ton texte :
« …Soit, de ma part, c’est objectivement du verbiage. Mais, si tu ne connais pas personnellement l’auteur, comment peux tu distinguer ce qui de sa part est du verbiage aussi ? As-tu toi-même fréquenté l’équivalent d’un Arsenie Boca, un Massini, un Bocadea, un Cézar, les as-tu sondé ? Tu as seulement envie d’y croire, sans moyen de faire la part des choses… »
S'il y a un verbe que je déteste dans la langue française...bingo Gilles, c'est celui-là, le verbe "croire" ! D'abord, tu ne t'es même pas aperçu que tu te contredis dans ton texte: tu commences par écrire: "Mais en plus, comme tu le sais, j’ai de bonnes raisons de croire que sur le fond l’histoire est grosso modo vraie même si la trame est plus mondiale", et ensuite, tu démolis tes propres propos !
Arrêtons s'il te plaît les grandes analyses périphériques à notre propos, et restons uniquement branchés sur le sujet, de manière factuelle. Tu veux encore m'entraîner vers de grands cours d'Histoire, comme si j'étais un néophyte. C'est plus fort que toi : toujours donner des leçons. La parole des autres est négligeable. Je reprends : le texte situe bien les événements dans le temps et dans l'espace. Que te faut-il de plus? C'est cela que tu dois démolir, si tu veux argumenter. Le reste, oui, tout le reste, ce n'est que du verbiage. Je comprends parfaitement que la mécanique du gouvernement mondial, dont tout le monde aujourd'hui subodore l'existence, reçoit ici une confirmation argumentée, à laquelle tu ne réponds pas, évidemment, puisque tu fais probablement partie du système, à un certain degré. Et je te ferai remarquer que je dispose d'un autre document, dans la lignée de ce qui est écrit dans ce livre, que j'enverrai à ceux qui seront intéressés. J'ai compris qu'à toi, ce nouveau document ne recevra que dénigrements. J'en tire les conséquences. J'aime bien ton expression : "un truc de ce genre". Ca, c'est de l'analyse pointue, probablement du niveau des cadors de l'ENA !
Allez, ne perdons pas un temps précieux. Tu sais. Nous ne sommes pas dans le même plan. Tu as toutes les Vérités en toi, et moi, et probablement d'autres, n'avons que des "croyances", à partir d'informations qu'il ne faut pas prendre trop au sérieux. Et le monde peut continuer à tourner dans le sens des intérêts de certains.
Excuse-moi, Gilles, mais je pense qu'avec nous, tu joues un double jeu : l'écologiste de dimension internationale. Et l'autre face, ‘’très impliquée dans le système". Tu n'es pas seul dans cette situation, et je ne suis pas seul à le comprendre.
Ta propre prose est instructive à souhait.
Comment pourrais tu comprendre mes raisonnements basés sur le terrain des antichambres que tu ne fréquentes pas assidûment. Tu ne connais pas mon parcours politique et tout ce que j'ai appris sur la marche du monde. Tu me taxes d'être tout petit par rapport à un ego surdimensionné, qui me pousserait à avoir une influence planétaire. Tu ne manques pas de culot, cher Gilles, dans la façon de retourner un raisonnement. Mais je connais ce genre d'exercice pratiqué dans les grandes écoles. (Comme à HEC, les Hautes Etudes à la Con où on apprend tout et rien… GC)
A mon âge, avec mes ennuis de santé, mon coeur fatigué, j'aurais ce genre d'ambition ? Ne bois plus que de l'eau, Gilles ! J'ai été et je reste un militant de la Vérité. Ne t'en déplaise.
J"avais oublié de recopier l'une de tes phrases :
"C'est vrai que je n'ai pas encore lu le livre, mais je fais publiquement le pari.. .etc."
Et tu écris de plus que tu te bases sur des "impressions". Mais Gilles, tu me prends pour (Rassurons nous, ça n’est pas incorrect mais mieux vaut ne pas publier… passion de discussion que je comprends parfaitement. Ca m’arrive aussi ! GC), ou quoi ? Ecris-nous des propos lisibles, à partir d'une analyse sérieuse de textes documentés. Vraiment, tu me sidères comme jamais. Je stoppe là ces échanges devenus inutiles avec toi, afin de ne pas davantage importuner le Groupe. J'assume tout ce que j'ai écrit. Point final.
Amicalement. Gé
@Gilles Lorant : « …nous en reparlerons plus sereinement si tu en as alors l’envie… »
- Bouh ! Ils en ont pris un sale coup les Ufolologistes.
- Ouaip. Ils ont su que LDLN ne sera plus publié.
- Baste, si on leur expédiait quelques boules… des grosses comme celles de ‘’Roro’’ et des petites comme celles des gars Charles et Coat, ça leur ferait des articles à publier à LDLN ?
- Oky pour des petites, Chef, j’en ai en réserve mais…
- Mais quoi ?
- Ben pour les grosses lumineuses de type Aveyron, en rupture de stock je n’ai plus de piles pour les éclairer…
Commentaires (3)
- 1. | 10/10/2016
- | 18/12/2016
- 2. | 27/09/2016
pour faire vivre se journal., maintenant tout dépend des pertes financières de se journal, si il y a des dettes, et quels en sont le montant.
Si cette revue n'est pas surendetter , que des personnes sont prêtes a se regrouper pour faire vivre cette revue, alors je suis d'accord pour apporter mon soutien.
que l'ont me tienne au courant via mail. Merci
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Date de dernière mise à jour : 11/11/2016
Je suis un lecteur de LDLN depuis les années 1970.
Je me suis réabonné en 2013 après plusieurs années d'interruption mais toujours attentif au phénomène OVNI.
Bien évidemment j'ai été consterné et désolé par la nouvelle de l'arrêt de la publication.
Par la présente je fais état de ma volonté d'apporté ma contribution "technique" au redémarrage d'une quelconque initiative : écriture de textes, remise en forme, relecture et correction, etc ... selon la demande et mes capacités.
Je suis disponible pour évoquer le sujet par mail et téléphone.
Cordialement
Christian POILLY